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Teaser 2017

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Wanagain Festival 2017   Drawn'Artis

Wanagain Festival 2017 Drawn'Artis

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Wanagain Festival 2017 Philippe Beurgaud

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Wanagain Festival vidéo motion design Drawn'Artis

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2ème Edition 2016-2017
FESTIVAL Avril 2017

Les 11 groupes ayant participé au Wanagain Festival 2017

Vendredi 21 Avril :

Guntzepaula

11 Louder

Tagada Jones

Krakenstein

No One is innocent

The Supercopters

Samedi 22 Avril :

Massaw

Guntzepaula

Peter Peter Falk  

Les Fatals Picards

The Assowls

Tagada Jones (FR) :

Déjà plus de 20 ans que Tagada Jones parcourt les scènes nationales et internationales avec son Punk-Hardcore. Le groupe a traversé 25 pays, produit 9 albums studio et brûlé les planches à plus de 1800 reprises ! Sans doute l’un des seuls combos Punk français à autant s’exporter en chantant dans sa langue natale.

Tagada c’est aussi une conscience sociale, un engagement politique et surtout une référence en termes d’indépendance. Dignes héritiers de la scène alternative française, ils sont reconnus par leurs prédécesseurs (Bérurier Noir, Parabellum, Shériff...) comme étant l’incarnation du « Do it yourself » français.

Si le combo a démarré sa carrière il y a un peu plus de vingt ans sous la forme d’un quatuor 100 % punk-rock, sa musique a connu quelques changements et notamment une orientation plus électro-punk durant quelques années avec l’arrivée d’un cinquième membre aux samples. Aujourd’hui le groupe est revenu à ses premiers amours et continue de composer une musique punk fidèle à ses racines, même si l’aspect électro-indus n’a pas totalement disparu. Le groupe couvre plus que jamais un spectre musical allant du punk anglais, des origines à sa version californienne des années 90, en passant par l’alternatif hexagonal des années 80 ou encore le métal et le hardcore. Des influences qui ont été parfaitement digérées pour aboutir finalement à une musique qui ne ressemble à rien d’autre qu’à du Tagada Jones !

Si la musique a évolué, elle reste immédiatement reconnaissable, notamment grâce à la voix de Niko, à son chant enragé et à ses textes militants. Des textes qui ont d’ailleurs connu eux aussi une certaine évolution mais qui restent très largement axés sur les problèmes sociétaux tels que le capitalisme, la mondialisation, l’oppression, les guerres, le racisme, l’écologie, la politique, les religions, les violences conjugales ou la liberté au sens large du terme.… Les thèmes restent graves, la vision terriblement lucide, et l’ensemble brosse un portrait plutôt sombre mais réaliste de la société actuelle.

Trouvant le parfait équilibre entre conscience sociopolitique affûtée et virulence sonore, porté par des refrains fédérateurs, des guitares mordantes et des cœurs surpuissants, Tagada Jones s’impose en fer de lance de la scène punk-hardcore française.

Toujours plus violent, plus revendicateur, plus pertinent et plus incisif : tel est le visage de Tagada Jones en 2017. Gonflé à bloc et armé d’un nouvel opus « La Peste et le Choléra » le groupe s’apprête à reprendre les routes pour dispenser à travers le monde sa saine et franche énergie rock’n’roll, propre à faire transpirer n’importe quel amateur de décibels lors de concerts mémorables, où le quatuor révèle toute la mesure de sa ferveur et de sa générosité.

  • Tagada Jones
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No One Is Innocent (FR) :

Après être entré dans la cour des grands du rock en 94 avec leur premier album et son single, « La Peau » qui marquera au fer rouge la génération électrique des 90’s, No One persiste et signe dans le coup d’éclat avec « Utopia » en 97. D’une force et d’une énergie live des plus rares, No One est présent sur toutes les routes d’Europe, on les croise aussi au Chili, en Argentine ou sur les festivals américains comme le South By South West.

Tous ceux qui ont pu les voir sur scène le savent, les No One restent un phénomène live et leur réputation scénique n'est plus à faire, chaque concert se joue comme si c'était le dernier.

Avec la sortie en 2004 de « Révolution.com » puis de « Gazoline » en 2007, la machine semble atteindre une vitesse de croisière jamais dérangée par la routine, que leurs penchants soient rock, électro, blues, suaves ou déchirés, No One Is Innocent laisse une traînée de poudre partout derrière lui. Pour preuve le DVD coup de poing « Siempre De Suerte » qui, au delà de ravir les fans de toutes les périodes, impose le groupe comme la référence du rock enragé sur l’hexagone.

Toujours à l’écoute de son époque, des bruits de la rue et des sonorités nouvelles, No One s’engage une nouvelle fois en 2011 sur des sentiers interdits, faisant de la place aux grooves électroniques avec un « Drugstore » survolté, un album qu’il défendront une nouvelle fois sur scène avec une force incroyable applaudie par la critique.

80 dates plus tard, après avoir suivi la tournée Française de Motörhead en 2012, No One reprend son souffle pour se concentrer sur un nouvel album. Un album qui s’annonce déjà comme une des plus belles salves du combo. Un retour aux sources sonores, gonflé à bloc par le besoin de hurler et d’en découdre avec la morosité ambiante. Revivifié au Raw Power, deux guitares au front, le No One 2015 s’annonce comme la claque nécessaire et attendue pour réveiller les ondes et exciter vos neurones.

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Les Fatals Picards (FR) :

C’est à l’aube du troisième millénaire, et tandis que des peurs les plus millénaristes surgissent les croyances les plus folles quant à la possibilité de faire n’importe quoi, que la route d’Ivan Callot (le fondateur) croise celle de Laurent Honel (le guitariste). De cette rencontre naîtra la première version d’un groupe au nom improbable : Les Fatals Picards. Début 2001, le groupe débute sur scène dans des bars parisiens pour défendre Navet Maria, un premier album enregistré chez Ivan.

Pendant l’hiver 2002, Ivan et Laurent rencontrent Jean-Marc Sauvagnargues, batteur de son état et qui, au fil du temps et d’un amour sans cesse croissant pour le travail de tourneur, amène la formation à se produire sur des scènes de plus en plus nombreuses. Jean-Marc participera aux séances d’enregistrement de Droit de Veto, le deuxième album des Fatals Picards, où figurent les premiers « tubes » du groupe : des morceaux comme « Goldorak est mort », « Chasse, pêche, et biture » ou « Schizophrène… » n’ont, en effet, rien à envier à des morceaux qui n’auraient rien à envier…

C’est lors d’un concert donné à Moissy-Cramayel que les Fatals Picards font la connaissance de la Sex Bomb, le groupe au sein duquel officie Paul Léger : Ivan, Jean-Marc et Laurent lui proposent de rejoindre la formation.

Après la sortie de Picardia Independenza, le troisième album studio, en mars 2005, les Fatals Picards repartent sur la route avec Paul et en profitent pour engager un nouveau bassiste – Yves Giraud – et écrire Pamplemousse Mécanique, un disque dont la deuxième édition contient « L’amour à la française », le titre qui fera d’eux les représentants de la France au cinquante-deuxième concours Eurovision de la chanson : bien qu’antépénultièmes, c’est le début de la gloire mais aussi la fin d’une époque lorsque, en septembre 2008, Ivan annonce son intention de quitter le groupe pour mener à bien d’autres projets qui lui tiennent à cœur.

Les Fatals Picards – devenus quatre – décident de continuer l’aventure et, après avoir tourné dans un studio parisien le clip de « Bernard Lavilliers » avec…Bernard Lavilliers, ils repartent sur les routes pour permettre à Paul d’essayer sa deuxième paire de poumons. Dans la foulée, le groupe sort Public, le premier album live du groupe – le dernier avec Ivan – et compose son cinquième album studio placé sous le double signe de l’humour noir et de l’engagement.

Quand, le 2 mars 2009, sort Le sens de la gravité, les Fatals Picards sont au cœur d’une polémique autour de leur chanson « Le jour de la mort de Johnny », chanson retirée de l’album suite à la demande de leur maison de disque puis des sites d’hébergement de vidéos, mais toujours jouée sur scène par un groupe qui fête en septembre 2010 ses dix années d’existence avec à la clé une tournée automnale menée tambour battant – et sold out – aux quatre coins de l’Hexagone, et aux trois coins de la Belgique car, oui, la Belgique ne possède que trois coins.

Le mois de décembre 2010 est à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire du groupe : c’est en effet au cœur d’un hiver plus froid qu’un fœtus dans un bac à glace que les Fatals Picards – alliés au réalisateur Julien Bloch – tournent le clip de Coming out, premier extrait d’un sixième album studio enregistré en Belgique, un album dont les 14 chansons sont autant de cris d’amour à la gloire de l’amour, un album sobrement intitulé Coming out. Pour l’occasion, le groupe a eu la chance d’avoir à sa disposition deux « pure people » dont la générosité est inversement proportionnelle au cachet qu’ils ont accepté de refuser : Dave et Armande Altaï !

Encore une fois boudé par les grands médias, le groupe s’offre le luxe de repartir en tournée durant deux années bien remplies – 150 dates entre France, Québec et Belgique avec un deuxième album live à la clé – au cours desquelles ils réinventeront aussi le concept d’émission de TV décalée sur une chaîne du câble. Une expérience qui leur permettra de partager l’antenne avec quelques amis du métier : les Wampas, Archimede, No one is innocent, Dave, Michaël Gregorio…

2013 est aussi l’année du millième concert et de la sortie de 7ème ciel, septième album du groupe. Le disque est à l’image des Fatals Picards : drôle, concerné, énergique, avec toujours ce second degré qui est leur grille de lecture du monde. Des femmes battues au nucléaire, des punks du Liechtenstein aux chemins qui mènent aux Roms, des sentiments qui s’étiolent aux ravages de l’alcool en milieux sentimentaux, le groupe trace sa route avec pour seule devise l’euro…

  • Les fatals picard
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槍擊潑辣 Guntzepaula (Taïwan) :

En partenariat avec le bureau des affaires culturelles de Taiwan à paris,
Les membres de Guntzepaula venus tout droit de Taiwan pour participer au Wanagain Festival les 21 et 22 Avril, ont probablement foulé les terres bourguignonnes pour la première fois de leur vie. Ils ont reçu tout naturellement un accueil chaleureux digne des bourguignons!

Le groupe taïwanais « Guntzepaula » est un trio batterie, basse, et guitare/chant né en 2008. Leurs chansons sont inspirées par la réalité d'aujourd’hui et les relations humaines. 
Le groupe a sorti deux albums qui ont reçu des prix aux « Golden Indie Music Awards », la manifestation la plus importante pour les groupes indépendants à Taïwan. 
Leur son est expérimental et inclus souvent une partie d’improvisation et des riffs de basse slappée grandiose. 
1er Album sorti en 2014 : « HUOZHONG »
2er album sorti en 2016 : « BLACK LOTUS »

  • Guntzepaula
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11 Louder (21) :

11 Louder, des locaux qui en ont... d' la banane!!!!

« 4 imbéciles qui font de la musique ensemble, j'appelle pas ça un groupe ! » - Bono de U2
Mais à force d'y croire très fort depuis 2010, 11 Louder arrive quand même à créer l'illusion. Plus de 120 concerts dans toute la France (sauf dans la Creuse, quand même) et à l'étranger : Grèce, Belgique, Suisse, Bretagne, etc. et des plateaux partagés avec des artistes tous plus sympathiques les uns que les autres : Lofofora, Triggerfinger, Dallas Frasca, the Inspector Cluzo, BB Brunes, Mörglbl, etc.
Au niveau du son, quand on leur dit « Motörhead ? », ils répondent « oui, mais pas que ! » et aussi parfois « et une pinte avec ça, s'il-te-plaît. ».
Après 3 essais discographiques infructueux (démo, EP, 45t 2 titres), 11 Louder sort son 1er album Monkey Business en octobre 2016. Du Rock'n'Roll enregistré dans une des meilleures usines du genre, le Warmaudio et masterisé par Jason Livermore (NOFX, Zeke, Comeback kid…).
Et si vous n'aviez pas compris que «11 Louder » faisait référence à la célèbre scène de l'ampli dans le Spinal Tap de Rob Reiner de 1984, foncez le voir !

  • 11 Louder
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Krakenstein (21) :

Le krakenstein sort de la vase lors de la grande marée de septembre 2009, ou il retrouve tous ses organes avec l'arrivée de krakenmag (chant), krakenfab (batterie), krakenstef (gratte) et krakenzico (basse). Début 2013, krakenfab retourne au canal pour jouer avec des slips sales tandis que krakenzico, après un accident a la nageoire, est contraint d'arreter la basse. Coup dur pour le krakenstein qui, couché dans la vase, ne dort que d'un œil. Heureusement, la transplantation de deux nouveaux organes réussit et avec krakennono à la batterie et krakensally à la basse, la terreur règne à nouveau dans les marécages au doux son du psychothrashpunk.

La demorroide 2 sort en janvier 2014 et permet à tous de ramener un peu de boue audioterror dans sa maison !

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Montceau-Les-Mines, c'est là, début 2009, tête dans les nuages, pieds dans le charbon, que PPF se forme.Comme un renvoi permanent entre énergie terrestre du R'n'R et envolées aériennes d'une voix écorchée. Entre furies grunges tubesques et épilepsies progressives et mélodiques. Comme un renvoi permanent, la tête dans les nuages, les pieds dans le charbon...

THE ASSOWLS prônent le rock’n’roll à l’état pur, sans fioriture. Ils sont là pour partager cette manière de vivre sur scène ; bière, sueur et décibels ! Avec leur EP 5 titres Lullabies Are For Bitches, THE ASSOWLS sont déterminés à revaloriser ce style trop oublié à leur goût ! Rock’n’roller de tout poil, on vous attend !

  • OuafOuaf
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Vendredi 21 Octobre :

Jäger Blaster

Part of Nothing

The Supercopters

God is a liar

Massaw

American Hunter

Samedi 22 Octobre :

The Assowls

Black Peppers

The flying sutch band  

Fre3 bastards

Shattered blooms

Peter Peter Falk

Les 12 groupes ayant participé au Wanagain Tremplin 2016

Les 4 groupes élus par le public pour  participer au Wanagain Festival 2017

The Supercopters

Massaw

The Assowls

Peter Peter Falk

Massaw (21) :

The Supercopters (21) 

The Assowls (21) :

Peter Peter Falk (71) :

2007 l’escadre sauvage des Supercopters décolle : Un éclair rock déchire le ciel. En quête d' énergie brute et primitive, s’abreuvant à la source des vieux héros du hard et du psyché des 60’s-70’s (MOTÖRHEAD, d’AC/DC, STONES, HELLACOPTERS, AIRBOURNE,...) du Punk ou de l’actuel RevivalStoner, ils brûlent de retrouver l’esprit originel du rock. A force d’abnégation, ils finiront par le mettre en exergue. Sorti courant 2011, leur premier album « Psychos Heroes » fait des ravages pour les amateurs du genre. En 2012 et 2013, le groupe part en tournée qui atteindra son apogée sur la grande scène du Bol d’or à Magny-Cours. 2014 est une transition passionnante et salutaire pour les SUPERCOPTERS qui se surpassent en livrant «  4 More Psychos  », un EP toujours aussi rock’n’roll !!! Avec l’arrivée de Coux, tonitruant chanteur et charismatique frontman, l’alchimie est complète. Le prochain album sera magique.

Derrière une décontraction légendaire et une flemme de façade, se cache en fait un projet qui cherche à prouver qu' être un éternel second rôle n'est pas une si mauvaise chose. Avec un sens aiguisé de la mélodie et de solides influences, les quatres gars de Massaw balancent un mix entre Latterman et Uncommonmenfrommars. 

TREMPLIN Octobre 2016
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